Invité Invité
| Sujet: Re: Ctrl+V Mer 10 Déc - 0:33 | |
| y new (L)=>Suga Shikao <3 // Why do I like to procrastinate!?!? T_T Damn it!! [[Diru's show = best time of my life X33]] dit : tu as ta propre équipe de pom pom girls pour t'ecourager ^^ lol ..:¨¤ Almighty Fay-sama, the other face of the Princess of Ganesa ¤¨:.. dit : je suis trop sublime ..:¨¤ Almighty Fay-sama, the other face of the Princess of Ganesa ¤¨:.. dit : heu non ..:¨¤ Almighty Fay-sama, the other face of the Princess of Ganesa ¤¨:.. dit : lapsus ..:¨¤ Almighty Fay-sama, the other face of the Princess of Ganesa ¤¨:.. dit : vous êtes trop sublimes |
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Trucy Câlice Cris agités d'une tapette.
Nombre de messages : 12682 Age : 35 Localisation : Neverland Date d'inscription : 02/06/2008
| Sujet: Re: Ctrl+V Dim 14 Déc - 18:52 | |
| Point faible : Très radin, souvent à côté de la plaque, à tendance à confondre Yomi (le chanteur) avec sa batterie. | |
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Iko' Prince of EPIC FAIL
Nombre de messages : 3958 Age : 30 Localisation : Sur une chaise O___O Date d'inscription : 03/06/2008
| Sujet: Re: Ctrl+V Mer 24 Déc - 22:20 | |
| *défribilateur cardiaque desu, fait revivre le topic* *copie colle* ...oh shit *met ça entre spoiler, c'est grow* mon histoire pour mon nouveau perso d'un forum XD - Spoiler:
Histoire :
- ...regarde! Tenkai-chéri fait ses premiers pas! - Ouaiiis bravo Tenkai!
Eeeh oui. Bébé Tenkai a commencé à marcher. C’est magnifique n’est-ce pas? En fait, pas vraiment. C’est une étape normale du déroulement de la vie, l’apprentissage. Surtout marcher. Si on ne marche pas, on arrive à rien dans la vie, non?
- Encore un Tenkai-chéri! Bravo!
J’avais seulement le goût de lui dire “non mais ta gueule j’essaie de marcher”, mais bon. Je n’ai qu’un an. À cette âge là, techniquement, on ne sait dire que papa/maman/merci/bobo/oui/non/peut-être/woooow 8D. La communication est donc limitée...
- C’est beau Tenkai! - Vas-y continue! - NON!
Je m’écrasai volontairement au sol en croisant les bras. Ils me saoulaient avec leurs encouragements, quoi...
Vous voyez donc que mon entêtement a commencé bien tôt.
Jusqu’à environ 5 ans, tout ce que je m’amusais à faire c’est m’asseoir en disant “NON!” et en croisant les bras. 5 ans, c’est l’âge où on doit enfin aller à l’école. Assis derrière mon pupitre, j’écoutais les autres chanter “Eeeenfin je vais à l’école! J’ai 5 ans, je suis graaand...” jusqu’à ce que je m’énerve, comme à mon habitude. Je ne faisais pas d’énormes crises de violence, juste assez pour mon âge quoi.
- EEENFIN JE VAIS À L’ÉCOOOOLE... - ARRÊTEEEZ!!
La maîtresse d’école me regarda étrangement, tandis que les autres élèves avaient arrêtés de chanter, tétanisés.
- Tenkai, il y a quelque chose qui ne va pas? - J’aime pas chanter. - Alors ne chante pas, mais s’il te plait ne dérange pas les autres amis qui chantent. - J’aime pas vous entendre chanter non plus. - Tenkai... - J’veux pas j’ai dit! - Tu vas aller au coin des punitions... - Je m’en fous.
La maîtresse d’école me regarda encore plus étonnée que d’habitude avant de me tirer vers le coin des punitions où je devais rester pendant très, très, très longtemps. De retour à la maison, mes parents eurent vent de mon “manque de discipline. Ma mère ne voulait pas me gronder, mais mon père n’était pas super content non plus.
- Tenkai, pourquoi as-tu fais cela? - J’veux pas chanter. - .....
HAHA! BOUCHÉ!
Un an plus tard, je commençais à faire mon difficile au niveau de la nourriture. Surtout que ma mère avait commencé à faire autre chose que du poisson et du riz. Je regardai avec étonnement le contenu de mon assiette pour ensuite prendre une bouchée et l’avaler avec dégoût. Puis je reculai l’assiette.
- J’aime pas ça. - Tenkai-chéri, il faut que tu manges... - Non j’veux pas, j’aime pas.
Je me levai de table, mais mon père me rattrapa par le bras et me rassit de force.
- Tenkai, tu vas manger ton ragoût. - Non veux pas j’ai dit!
Au lieu d’aller dans mon estomac, le ragoût alla directement dans la figure de mon père, qui commençait à devenir rouge de colère. - Tenkai... - GAAAH!, dis-je en me levant en trombe pour aller m’enfermer dans ma chambre.
Six ans plus tard maintenant. Le Tenkai-chéri il a grandi, il a 12 ans maintenant.
- Tenkai! Viens ici. - Quoi? - Viens m’aider à tondre la pelouse, t’as 12 ans maintenant tu es capable. - ...non. - Quoi? - T’as compris, j’ai dit non.
Rapidement, je reçu la main de mon père dans le visage. Il m’a giflé?! Oh le salaud.
- ...grah... - Tu vas venir m’aider oui? - Non! - Tu en veux une autre! - Ouais!
SBAF! Il m’a encore giflé?! OH LE SALAUD
- T’vas le payer ça, lui dis-je avant de lui envoyer mon poing en plein estomac.
Nous avons donc commencé à nous battre. Il n’était pas rare que mon père me plaque dans le mur et que je le plaque à mon tour. J’ai 12 ans maintenant. Je suis capable. Mais, ce que je ne m’attendais pas trop qu’il fasse, c’est lorsqu’il m’envoya son poing en pleine figure. Rouge de rage, je lui lançai les premiers trucs qui me venaient à l’esprit. D’abord le vase précieux de ma mère, puis une chaise, et ensuite un couteau. Le couteau le manqua de peu.. .et ma mère, terrorisée, appela la police.
Les flics arrivèrent en peu de temps, et je continuais toujours à me battre contre mon père et lui lancer des petites cuillères. Un des flics me prit par derrière et me plaqua au sol pour me neutraliser tandis que l’autre me passa les menottes. C’est froid, et ça fait mal aux poignets...
- LÂCHEZ-MOIIII!!!
Après un long instant de persévérance et de “LÂCHEZ-MOIIII!” intense, je fini par me calmer un peu, manquant de voix et de souffle. Ils me retirèrent les menottes et moi je couru m’enfermer dans ma chambre, en rogne.
Maintenant, à 16 ans. Cette scène se passe à l’école, pendant un temps de pause, avec mon meilleur ami Akihito.
- Dit... Tenkai... toi je te fais confiance, alors j’ai un truc à te dire... - Eeh d’accord, t’veux qu’on ailles dans un coin avec moins de monde? - Ouais...
Nous nous dirigeâmes vers l’arrière de l’école, là où jamais personne ne vas.
- Tenkai... Je... Je suis gay... , dit-il en se cachant, honteux. - ...toi aussi?
Il releva les yeux vers moi, étonné.
- Toi aussi tu es comme moi? - Ouais. - D... Donc... Cela veut dire que ça ne te dérangeras pas trop si je fais ceci...
Il déposa lentement ses lèvres contre les miennes... .tout doucement. J’aurais pu tout simplement le repousser, mais non, je me surpris moi-même à continuer le baiser tout aussi doucement, avant qu’Akihito y mette un terme.
- Gomen... , dit-il rouge de honte. - Aki, ‘faut pas t’excuser... Okey?, ajoutai-je avant de l’embrasser à mon tour.
- Aki... Mes parents sont partis en voyage pendant une semaine. Ils reviennent après-demain... Tu vas pouvoir venir chez moi... Si tu veux...
C’est ainsi que ce soir-là, nous nous échangions plusieurs baisers langoureux et passionnés avant que l’on retire mutuellement nos chandails et le reste quoi. Je vous laisse imaginer la suite. Le fait est que le Seme dans l’histoire, c’est moi. ...ne me dites pas que vous croyez VRAIMENT que j’allais être Uke! Enfin bref. Vient ensuite la scène “d’après-acte”...
- Je t’aime Tenkai... - Moi aussi Aki...
Et il glissa dans ma main son collier, celui qu'il aimait tant...
3 ans plus tard...
[i]Il y a des jours où on se demande qui on est vraiment. Pourquoi on existe, nos buts dans la vie. Pourquoi naître si on meurt ensuite. Pourquoi essayer de réaliser nos rêves si on ne pourra qu’en profiter qu’éphémèrement. Après tout, la mort nous guette, elle attend seulement le bon moment de frapper, peu importe comment. C’est pessimiste, mais c’est ça, ma vision du monde.
- Tenkai-chériiii? Le souper est prêt! - ...j’arrive...
Je délaissai mes écrits pour aller rejoindre mes deux parents dans la salle à manger. Ma mère avait déjà servit le souper , donc j’eus seulement besoin de m’asseoir à ma place et de regarder avec dégoût ce qu’elle avait fait ce soir-là.
- ...je dois absolument manger ça...? - Mais oui Tenkai-chéri, tu vas être malade sinon... - J’veux pas. - Mais Tenkai-chéri... - J’ai dit non, tu le sais pourtant que je déteste le ragoût... - Mais... - Y’a pas de mais, merde!
Je me levai brusquement de la table, puis j’allai fouiller dans le réfrigérateur à la recherche de quelques sushis au concombre que j’allais pouvoir manger devant mon PC, pendant que j’écrivais. Puis je remontai à ma chambre et continuai d’écrire.
Il y a d’autre jours où on se demande, en fait, à quoi ça sert de mourir. Qu’est-ce qu’il y a, après la vie? Qu’est-ce qu’il y a avant la vie? Qu’est-ce qui pousse les gens à s’enlever la vie? Qu’est-ce qui pousse les gens à enlever la vie des autres? Il faut aussi savoir que certains n’enlève pas la vie des autres, mais la ruine, la détruit, en les réduisant à l’esclavage, en les violant...
Je me retournai brusquement alors que j’entendis des coups à ma porte de chambre. Je vis ma mère, sur le seuil de la porte, la tête basse. Qu’est-ce qu’elle voulait, encore?
- Tenkai-chéri... - Quoi encore - Je... je t’ai fait du gâteau au chocolat... je sais que tu aimes bien les gâteaux au chocolat... alors.... je.... t’ai ramené une pointe... - ...merci.
Je pris l’assiette en hochant la tête pour ensuite retourner lentement vers mon PC, pour finir de manger mes sushi. Je regardai partiellement derrière moi pour vérifier si ma mère était toujours là... non. Parfait. Je me remis à écrire, en silence, entre deux sushis... où j'étais rendu déjà? Ah oui. Le viol.
...en les violant, en les droguant ou même en les forçant à entrer dans des gangs de rue. Alors, si l’on sait que le monde est rempli d’hypocrites du genre, y a-t-il des gens digne de confiance? Probablement, mas comment les trouver? Surtout lorsque l’on sait que les gens hypocrites sont également manipulateurs et se cachent derrière un masque d’innocence.
Puis, je me sentis observé. Je retournai la tête pour revoir ma mère, sur le seuil de ma porte, la tête toujours aussi basse.
- Tenkai-chéri... - QUOI ENCORE! - T...Tenkai...
Je voyais bien qu’elle avait peur. Elle tremblait comme une feuille, du haut de son mètre cinquante neuf, tandis que je m’étais encore levé, serrant les poings, la regardant de haut.
- Quoi, qu’est-ce que tu me veux! J’veux essayer de finir mon travail d’éthique et culture religieuse moi merde! - T...Tenkai-chéri... - ARRÊTE ÇA! J’ai 19 ans! Je ne suis PLUS ton Tenkai-chéri! Tu me saoules au plus au point, t’peux pas savoir! - Je...
Puis elle tourna les talons avant de s’enfuir en courant, et surtout en pleurant. Je me sentais mal de lui avoir parlé comme ça... Elle n’avait jamais pleuré comme ça avant. Et puis, elle m’avait complètement coupé l’inspiration. Je décidai alors de me lever et d’aller la voir, avant que je surprenne une conversation entre mes deux parents.
- ...ça n’a plus de sens, il faut l’envoyer ailleurs. - Mais est-ce qu’il va être capable de se débrouiller... seul? - Bien sûr, il a 19 ans... - ... - Je connais une très bonne université où il pourra avoir une chambre, il sera probablement capable de payer tout ça. - ...vous me chassez?
Mes deux parents se tournèrent rapidement vers moi, qui allumait une clope devant eux. Ma mère était toute désemparée à l’idée que je l’ai presque envoyé chier tout à l’heure, qu’elle doit me laisser aller seul et que je fume.
- Hey, répondez. Vous me chassez, oui ou non? - Tenkai, tu vas me parler d’un autre ton. - J’t’ai pas demandé si tu aimais de la façon que je te parles, j’veux savoir si vous me chassez. - Tenkai... - T’vas répondre oui?! - ... - On... On veut seulement t’envoyer dans une université... - À ç’que j’ai entendu du père, il veut m'envoyer là-bas pour me chasser. Ç’quoi ton bahut au juste? - Une université. - C’est ça, un bahut. - Une université renommée à Ôsaka. Et l’inscription est déjà faite. - QUOI?! T’aurais pu me demander mon avis avant imbécile! - JE T'AI DÉJÀ DIT DE ME PARLER D'UN AUTRE TON! Tu vas étudier en littérature et en langue. Et tu pars demain matin. T’as pas beaucoup de temps pour te trouver un boulot pour te payer la chambre et tout tes livres. - Eeeh... nan, nan. J’vais pas payer , c’est pas vrai. - Si tu vas payer. Tu m’as bien compris Tenkai? Finis le temps de l’enfant-roi! - ...si c'est c'que tu crois...
Je le poussai alors violemment sur la table de la salle à manger. Lui aussi semblait avoir peur de moi, maintenant.
- Non, je payerai pas. Les parents c’est fait pour quoi déjà? Ah oui, payer pour son enfant. Donc tu vas payer.
Puis je me retournai, afin de retourner dans ma chambre pour préparer mes valises, mais je me souvins d’un truc.
- Ah ouais, m’man. Chui venu pour m’excuser. Mais bon.
Puis je retournai dans ma chambre, afin de me préparer pour le lendemain matin, le jour de la liberté. Une fois dans la voiture, je regardais dehors tout en pensant à Akihito. Je tenais son collier dans ma main, puis je fermai les yeux en pensant très fort...
Je t'aime Aki...
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